Tu cherches une bonne punchline de Jazzy Bazz ? Alors tu es sur la bonne page. Retrouve les meilleures citations de ses projets :
Punchline Jazzy Bazz : Nuit
Crépuscule : J’suis toujours dans le dix-neuvième, j’me pète toujours la tête au rhum
J’serai un vrai bonhomme quand j’saurai dire « je t’aime »
El presidente : Je m’demande souvent si un xénophobe à l’étranger s’déteste
El presidente : Rap conscient et rap hardcore, selon eux, y’a pas d’rapports
Moi, t’as du mal à m’caser, comme ta vilaine progéniture
Eternité : Dis-toi que tu pourrais déterrer tes ambitions, vois le bien s’emparer des ténèbres
Laisse-toi guider par tes intérêts, deviens celui qu’une simple lueur de soleil émerveille
Leticia : Leticia, j’t’en supplie
Accorde-moi juste une nuit
J’empêcherai le jour de se lever juste le temps d’une vie
Buenos Aires : Gros daleux depuis la naissance, j’me demande à quoi bon grimper
Vu que j’finirai par descendre
Sentiments : Faire d’une tain-p’ une fille bien mais tout c’qu’on sait faire, c’est l’inverse
Stalker : À l’inverse d’une cigarette, moi, j’t’ai toujours trouvé plus douce sans filtre
Insomnie : Insomnie, tout commence après minuit
J’ai pas peur de la mort, j’ai peur de l’agonie
Parfum : Quand les vestiges se transforment en parpaings
Un parfum sucré peut rendre amer, retour en arrière
Rue du soleil : La notoriété m’stresse et mon anxiété m’crève
J’ai envie d’réussir comme j’ai envie d’tout perdre
Cinq heures du matin : J’ai toujours vu c’comportement comme une anomalie
Mais j’crois qu’j’suis prêt pour la monogamie
Citation Jazzy Bazz : P-Town
P-Town : Parmi les noctambules, j’me débrouille à merveille
Mais pendant qu’on déambule, inquiètes, nos mères veillent
Les chemins : On s’embrassait seuls à seuls sans que cela cesse
On s’encensait, on s’enlaçait sans jamais s’en lasser
Joker : Ils pensent qu’ils nous manipulent, qu’on a gobé la pilule
Pendant qu’ils s’la dorent
Lay back : Leur succès, un poison, une fois connu leur art se nique
3h33 : J’ai délaissé le bleu du ciel pour le blues de la nuit
3h33 : Selon moi, c’est pas en sniffant que tu t’mets sur de bons rails
3.14 Boogie : Pas de nom à particule mais
Dans le véhicule un chauffeur particulier
Le syndrome : Tombant à la renverse en pleine voirie
J’ai tous les symptômes du syndrome de Stockholm envers Paris
Visions : Je prends l’échelle de bas en haut
On m’zieute de haut en bas
Adrénaline : Si j’suis sur une pente c’est qu’je l’ascensionne
On est dans la merde si l’au-delà sanctionne
Le roseau : La langue est riche, face à elle, on agit comme devant le pactole
On n’attend pas qu’on nous la donne, on prend la parole
Trompes de fallope : On s’attache, on se dit « Je t’aime » à demi-mot
On se dispute, je te dis une moitié du mot
Trompes de fallope : Hein, j’ai vu ma moitié me tromper avec un tiers
3.14 attitude : Connaître mes faiblesses est ma plus grande force
Amen : Elle cède, un bouchon de liège, elle n’a plus aucun doute
L’espoir, un flocon de neige, sa vie un mois d’Août
Punchline Jazzy Bazz : Sur la route du 3.14
Ce putain de Jazz : La vie est réglée d’un décompte et avec elle on a des comptes à régler
Dans ma tête : Mon esprit rétrécit et j’écris des récits de dépressifs
3.14 connexion : Tu vois le topo, mec, on roule tricards en coupé dans l’hood
Salaire de smicard avec un lifestyle de courtier en bourse
La vie est un jeu : Tard le soir, on aime s’adonner à trop d’épouvantes
Pas de cash, ici seule la galère est monnaie courante
Un truc qui cloche : J’porte un sale fardeau, vois-tu mes ébauches ?
J’avais moins d’poids sur les épaules avec mon sac à dos
64 mesures de spleen : Mon sol est jonché de feuilles comme si c’était l’automne
64 mesures de spleen : J’ai grandi dans Paris dix-neuvième, j’écris de tristes thèmes
Trop de prises de têtes, j’suis rempli de peines
Perfect match : Les yeux rouges écarlates, rentrant d’une soirée banale
Boire et foirer sa life dans l’espoir de croiser la joie
Seul : J’suis ce mec qui n’est pas stable
Dans ma tête, nos souvenirs sont aussi ineffaçables
Mes fautes sont irréparables, que puis-je faire pour t’expliquer ça ?
Me niquer la face ? Exécuter une de mes idées macabres ?
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