Sur cette page, tu retrouveras les meilleures punchlines de Kery James issue du morceau Banlieusards. Mais aussi plein d’autres citations qui proviennent de ses albums.
Sommaire :
Punchline Kery James : J'rap encore
J’rap encore : J’suis au ciné, ouais, j’suis au théâtre, ouais
J’suis à St-Jean St-Pierre, ouais, j’suis dans le 94, ouais
J’suis facile à trouver comme un blanc en Afrique
Blues : J’n’aurais jamais la haine contre l’homme blanc
J’suis trop occupé à essayer de devenir un homme bon
Le mélancolique : J’rends les coups à m’en abîmer les phalanges
J’absorbe les maux du monde entier comme une éponge
Jouez pas les gangsta : Tu t’la racontes comme un futur ex-pauvre
Ça va aller : Certains diront qu’j’ai du vécu, j’dirais plutôt qu’j’ai survécu
Sans moi : Dis-moi est-ce qu’on est mieux dans sa peau, dans des choses à 500 euros ?
Gang : Personne devient riche en s’levant après l’soleil
Ton futur patron est debout quand tu t’réveilles
A la Ideal J : Les mots peuvent tuer, on se sent bien en restant muet
Stan Smith : J’n’ai pas qu’des amis, normal j’suis un homme
J’ai pas vraiment de rivaux, normal j’suis hors norme
PDM : Martin, Malcolm, chaque fois qu’un nègre s’est levé
Dites-moi dans quel pays du globe, étonnement ce nègre s’est fait crevé
Le jour où j’arrêterai le rap : J’sais d’ou vient mon malaise
Un homme avec le vertige qui vit au bord d’une falaise, voilà c’que j’suis
Punchline Kery James : Mouhammad Alix
Mouhammad Alix : J’ai connu l’odeur de la rue en l’inhalant
J’ai connu la dureté du front en y allant
Douleur ébène : Noire est ma couleur, et pas qu’en surface
Je soigne une douleur, une autre la remplace
Pense à moi : J’n’ai pas fait qu’attendre mon tour, je l’ai provoqué
J’me suis présenté au succès sans être convoqué
Jamais : J’ai plané, entre les colombes et les vautours
La rue ça fait mal : Le cœur trop lourd pour croire au mirage
La tête trop pleine pour l’avoir dans les nuages
Des morceaux de nous : On tombe amoureux en silence, on se sépare dans le bruit
D’où je vient : Je les entend parler comme si je leur devais quelque chose
J’serais pas étonné qu’un jour de pluie, ils m’arrosent
Prends le temps : Un ciel étoilé, un coucher de soleil
Prends le temps de contempler avant ton dernier sommeil
Paradoxal : Laisse-moi briser la glace, j’me bats face à un miroir
Je cherche l’ennemi en face, mais j’suis le seul que j’peux y voir
Paradoxal : Comme vouloir garder les mains propres en faisant de l’argent sale
Rue de la peine : Pour crécher rue de la paix, ils se font la guerre
Vivre ou mourir : Si les rêves de paix, sommeillent certainement en chacun
On peut perdre son humanité dans un labyrinthe de chagrin
Musique nègre : Sur le boulevard de la vie, je suis dans l’angle mort
Musique nègre : Je me sens pas plus Européen que la livre sterling
Ailleurs : Besoin de me rapprocher, en prenant de la distance
Besoin de m’absenter, pour retrouver ma présence
Racailles : Je n’soutiens aucun parti, j’marche plus dans vos combines
Vos programmes électoraux ne sont que des comptines
J’suis pas un héros : J’écris à vif, eux me lyncheront de sang-froid
Pour avoir osé prendre la parole au nom des sans-voix
Article à lire :
Citations Kery James : Si c'était à refaire
Si c’était à refaire : Beaucoup cherchent l’adversaire quand les problèmes
Proviennent d’eux-mêmes
Ce A d’avilissant : Marché plus saturé que celui de l’industrie du disque
Il suffit que l’un d’entre eux sorte la tête de l’eau
Pour qu’ils s’empressent de le noyer au nom de la loi du ghetto
Des terres d’Afrique : Je suis pas un rêveur, je sais que certains me jugent sur ma couleur
Ignorent que mon histoire est trop grande par sa douleur
La honte : Ils n’aiment pas ce monde mais ne souhaitent pas le changer
Ils ne connaissent pas l’ennemi mais veulent se venger
Deux issues : Pas un voyou qui fasse long feu t’es prévenu
À peine tu viens d’ouvrir les yeux que t’es détenu
La mort ou la prison t’as que deux issues
Cessez le feu : J’crois franchement qu’il est temps que l’on hisse le drapeau blanc
« Afin que nos trottoirs ne soient jamais plus couleur sang »
Soledad: Le solitaire même entouré d’acolytes
C’est l’art d’être seul même en public
Déséquilibre : Ecrit qu’y a trop de famine, pour tant de richesse
Beaucoup trop de joie face à tant de tristesse
28 décembre 1977 : Je peux pas ne pas mentionner qu’elle surmonta beaucoup de galères
Et elle continue à ramer, trimer, jusqu’à cette heure
En savoir plus sur ce rappeur
Kery James, ancien membre de la Mafia k’1 Fry est né le 28 décembre 1977 en Guadeloupe. Il est connu pour ses textes tranchants et très engagés politiquement.
En effet, dans ses punchlines, Kery James exprime le racisme qu’il a subit et dénonce les travers de la société française et de l’homme en général.
Ce rappeur a composé 7 albums studios, de « Si c’était à refaire » en 2001 à « J’rap encore » en 2018. Il a donc une discographie très complète. Dans tous ses albums, il prouve sa qualité d’écriture avec des rimes et des flows uniques. De nombreuses citations et punchlines de Kery James sont donc connues par les fans de rap.
Récemment, il a fait parler de lui pour ses talents d’acteur et de réalisateur dans le film « Banlieusards ».
Si tu souhaites qu’on ajoute une nouvelle punchline de Kery James, n’hésite pas à le dire en commentaire.