Punchline Georgio : XX5
Hier : J’respire la nuit quand y’a plus personne dehors
Quand les gens heureux respirent corps contre corps
Miroir : Des rêves plein la tête, j’pensais contrôler l’monde et l’homme dans mon miroir
Aujourd’hui : Un soir au sommet d’la montagne, le jour d’après j’tombe plus vite qu’une avalanche
Dans mon élément : J’amènerai la haine anti-flic et les bavures d’ces putains d’racistes dans mon linceul
J’en sais rien : Des doutes en kilos m’empêchent de marcher droit, convictions enfermés comme Nelson Mandela
Coup pour coup : Entre le poids d’mes pêchés et le prix d’mes erreurs, j’attends qu’le diable m’envoie son devis
J’roule : Ta deuxième vie commence quand tu prends conscience que t’en as qu’une
Ça bouge pas : Tu vis avec la peur au ventre qu’on t’enterre le soir même
Tu fais du fric mais pour la bourgeoisie, tu n’es qu’un alien
Barbara : Plus chargés en soirée qu’la douane qui pète un RS4 tout neuf qui r’monte d’Espagne
J’me couche : Obligé d’sortir ma queue, j’peux pas m’ret’nir de pisser
J’ai pas amusé les bleus, pourquoi j’ai si mal visé ?
Haute couture : J’suis qu’un gosse maudit, j’rêve de grosses coupures
J’ai des p’tites balafres, j’avance dos au mur
Prisonnier : J’me suis déjà donné entièrement à une personne qui voulait même pas être ma moitié
31 janvier : Tu m’rends fou car t’es folle et t’es trop libre et c’est tout c’que j’aime et c’est horrible
Citations Georgio : Hera
L’espoir meurt en dernier : On va d’l’avant même si les r’grets nous courent après
On pourra dire qu’on l’aura fait
Du bout de mes dix doigts : J’essayais de garder la tête froide et mes yeux pleuraient des flocons
Héra : Aujourd’hui j’ai les idées claires
Je me casse, je laisse Paname dans le flou
No future : On y croit plus à la politique et ses promesses
On s’détruit, on fait d’nos corps des S.O.S
Brûle : J’ai vu, dans un pote qui dégueule, la vie
Qu’il fallait voir plus loin qu’son mélange vodka-redbull et ecstasy
Svetlana et Maiakovski : Elle se cache pour pleurer, en séchant ses yeux elle comprit
Qu’elle essuyait ses rêves, qu’ici, c’est la guerre froide sans trêve
La Terre, je la dévore : Combien ont pris les paradis artificiels pour tremplin ?
Je cherche à combler l’vide ou à évacuer le trop plein
Promis j’arrête : Mais la vie, c’est des choix, l’espoir renaît dans le gaz d’un briquet
Rallumer des rêves qui auraient pu finir en cendres
l’or de sa vapeur rouge : Les souvenirs de notre amour, pendu par la jalousie
Les écrits d’un anonyme, l’atrophie d’la passion
Le dernier verre d’un alcoolique, et la folie du poison
Ici-bas : Si vous croisez mon ex moi, vous pouvez l’étrangler
Lui jeter des pierres, le piétiner, mais surtout pas l’réveiller
J’veux plus l’voir, j’veux pas croire qu’il ait pu exister
On rêvait tous de s’envoler : Des gars au shtar et des projets qui battent de l’aile
On rêvait tous de s’envoler, à en perdre le sommeil
Punchline Georgio : Bleu noir
Jeudi gris : Y a rien d’pire que la honte qui te hante
Quand tu entends un rire comme un couteau qu’on te plante
Bercé par le vent : Pourquoi pas apaiser les esprits le temps d’un album ?
Pour mettre en forme tous les gens qui touchent le fond
Les anges déchus, les gens déçus : Chaque coin d’rue, ça pue l’amertume, ça vend la verdure
Crois pas qu’l’amour a perduré, on pense qu’à faire du blé, avec la tête dure
Dépression : C’est beau, c’est la mélancolie, ma chambre qui sent l’fauve
J’pense à mes problèmes quand tous mes frères sont endormis
Rêveur : La vie c’est quelques problèmes pour des milliards d’solutions
Beaucoup d’courage, un peu d’haine, cocktail en ébullition
Héros : Changer l’enfoiré devant son miroir est d’plus en plus difficile
Que faire ? J’suis sur l’plongeoir, y’a l’succès dans la piscine
Est-ce que j’dois faire le grand pas ? Au risque de m’perdre, de plus aimer ma musique
Appel à la révolte : J’manie les lettres, mes textes sont meilleurs qu’des mandats cash
J’ai aucune dette mais j’suis stressé, comme un trader de Goldman Sachs
Bleu noir : Les liens que j’créé sont plus forts que ceux qui s’brisent, j’l’ai appris avec l’âge
6 avril 93 : On sait qu’la trahison existe, avec les autres, t’es pas libre
Menotté aux principes, c’est l’cœur qui panique
Faut tenir : Tu peux pas douter d’mon envie d’exister, d’baiser la routine
De manière bestiale car j’suis dev’nu son esclave
Rose noire : Les fleurs du mal ne poussent pas qu’dans les poèmes de Baudelaire
C’est au bouquet final que tu te dis qu’l’amour, c’est la guerre
Des mots durs sur des bouts de papier (Lettre à Salomé) : J’t’ai déjà ouvert mon cœur, j’suis à pas grand chose d’m’ouvrir les veines
Indomptable : Tu pleures le soir, plus lunatique qu’Ali et Booba en même temps
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En savoir plus sur ce rappeur
Georgio est un rappeur français né le 21 janvier 1993 dans le 18ème arrondissement de Paris. Il commence à écrire ses premiers textes dès 14 ans et une passion pour le rap va naître.
Pour l’écriture de ses punchlines, il est influencé par des lyricistes comme Lino, Lunatic ou encore le TSR Crew. Il est également inspiré par les différents poèmes qu’il lit.
Dans ses paroles, on retrouve donc des rimes très bien travaillées avec un travail sur les placements. Georgio écrit de très bonnes punchlines, c’est pourquoi nous avons fait une sélection des meilleures d’entre elles.
Si tu souhaites qu’on ajoute une autre punchline de Georgio, n’hésite pas à nous le dire en commentaire.